OASIS+ est une offre de répit basée sur le jumelage entre des étudiants et des familles vivant avec une personne présentant une DI ou un TSA. OASIS+ offre aux parents une formule souple et simple de répit à la maison comportant de l’accompagnement à des activités, de l’assistance à la maison ou du gardiennage. La formule permet à de futurs professionnels d’acquérir de l’expérience auprès de ces personnes et leur réalité familiale.
Ce service novateur, qui vise à alléger la charge parentale et améliorer la qualité de vie des familles, fut développé dans le cadre d’une recherche participative, par des chercheuses de l’Université Laval, des parents, des étudiants et des représentants d’organismes communautaire. Leurs travaux ont permis de co développer un service pour les familles (2018-2019), misant sur l’engagement des étudiants en santé et services sociaux de l’Université Laval, formés pour offrir des services de qualité, et d’implanter ce service dans la région de Québec (2019-2020).
Voici un guide d’implantation rassemblant toutes les informations importantes pour la mise en place de l’offre de répit.
Voici le cahier du participant où vous trouverez des liens vers des capsules de formation et des vidéos sur notre chaîne YouTube. Ce document de formation vous sera fort utile si vous voulez mettre en place OASIS+.
Voici quelques publications liées à ce projet de recherche
Milot, É., Grandisson, M., Allaire, A.-S., Bédard, C., Caouette, M., Chrétien-Vincent, M., Marcotte, J., Moisan, S. et Tétreault, S. (2018). Développement d’un programme innovant pour mieux soutenir les familles vivant avec une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme: s’inspirer des expériences des milieux communautaires. Service social, 64(1), 47-64.
Milot, É., Grandisson, M., Allaire, A.-S., Couture, M., Tétreault, S., Chrétien-Vincent, M., Bédard, C. et Couvrette, R. (2019). Miser sur l’engagement étudiant pour répondre aux besoins d’accompagnement des familles avec un enfant présentant une DI ou un TSA: points de vue d’étudiants et de parents. Canadian Social Work Review, 36(1), 83-103.